LA 7eme, e FONCTION DU LANGAGE, MES Sylvain Maurice, d’après le roman de Laurent BINET, CDN de Sartrouville

Un polar insolent et déjanté Autant dire tout de suite que le roman de Laurent Binet est un bonheur de loufoquerie érudite, une farce jouissive autant qu’un rocambolesque thriller. Tout commence le jour où Roland Barthes est écrasé par une camionnette au sortir d’un déjeuner avec François Mitterand, qui sera bientôt candidat aux présidentielles de … Lire la suite de LA 7eme, e FONCTION DU LANGAGE, MES Sylvain Maurice, d’après le roman de Laurent BINET, CDN de Sartrouville

Publicité

BIGRE, MELO BURLESQUE, Pierre Guillois

Et (fou)rire de plaisir... ♥♥♥♥ Qu’il est bon et doux de rire franchement, à gorge déployée, d’en pleurer et de s’en tenir les côtes une fois de temps en temps ! Surtout quand on découvre un bijou depuis longtemps vanté et re-vanté, largement plébiscité et qu’on avait juste raté, une fois, deux fois, trois fois. L’erreur … Lire la suite de BIGRE, MELO BURLESQUE, Pierre Guillois

Un cabaret idéalement barré ! Idéal Club, Cie des 26000 couverts

C’est quoi votre spectacle idéal ? Vos numéros idéaux ? Du cirque ? Des histoires ? Des musiciens ? De la magie ou du théâtre ? Du chant peut-être, ou bien de la poésie ? Un peu de tout peut-être ou rien de tout ça, ou tout ça au contraire ? Quel qu’il soit, en fait, votre spectacle idéal, vous trouverez en tous … Lire la suite de Un cabaret idéalement barré ! Idéal Club, Cie des 26000 couverts

« Vous êtes impayable ! Non, je suis impayé. » Le faiseur, MES Emmanuel Demarcy Mota

Auguste Mercadet est une Faiseur : il emprunte, fait patienter ses créanciers, miroiter des profits aux uns et des rêves aux autres. Il raconte des histoires, bonimente, flatte, invente mille et une excuses pour ne jamais honorer ses dettes, emprunter encore plus. Auguste Mercadet est un homme riche de vent, jamais à court d'idée et … Lire la suite de « Vous êtes impayable ! Non, je suis impayé. » Le faiseur, MES Emmanuel Demarcy Mota

Pasadena mon amour

Ca commence dans un salon bourgeois, ni trop grand ni trop petit. On s’installe dans les canapés, on grimpe sur un fauteuil, on prend place côté cuisine ou côté chambre. Ils sont déjà là, ceux qui vivent ici. Ils sont là et attendent tranquillement que l’on arrive, que l’on soit prêts, que l’on soit tout … Lire la suite de Pasadena mon amour